Promesses déchues

Les larmes en rythme avec mes cordes,
Tu as été ma mélodie à la fin d’octobre.
J’ai prêté ma plume à mon âme,
Pour qu’elle écrive ce que tu blâmes.

Dans mes écrits, tu te reconnais,
Dans mes pensées, tu t’ai noyée.
J’ai tant désiré être avec toi,
J’ai souvent dit que l’amour n’avait pas de loi.
Un peu indécis, trop rêveur pour certains.
J’ai trop souffert de ton baratin,
Que dirais-je si j’étais face à moi-même,
Ayant encore l’espoir que tu m’aimes.

Je suis perdu,
Dans ma tête, trop d’questions continue.
Tu m’hypnotise,
Mais à force tu m’épuises.

Seul dans cette bulle, en plein combat,
Rêvant d’être une dernière fois dans tes bras.
Perdu dans l’ombre en souriant bêtement,
Réfléchissant à ton corps aimant.

En repensant à tes promesses que tu n’as pas tenu,
Je regrette désespérément de m’être battu.
Plus j’avance plus cette histoire me fini,
L’esprit étriqué face à ton cœur indécis.
Ayant ce sentiment de lourdeur,
Tout ça à pris une belle ampleur.
Me retrouvant noyé dans mes peines,
Étant prisonnier de ma haine.

Tu as tant été absente,
Et Il fallait que je patiente.

Je suis perdu,
Dans ma tête, trop d’questions continue.
Tu m’hypnotise,
Mais à force tu m’épuises.

Je suis certain que tu avais tout anticipé,
Durant un laps de temps , je désire t'oublier.
Je t'ai aimé jusqu'à en perdre mon souffle,
Ces faux espoirs dont tu m'étouffes.
Vivant désormais qu'avec des remords,
Je me sens comme condamné à mort.
Mais tôt ou tard je m’en sortirais,
Maman j’te le promets.