ISABELLE
Depuis longtemps mon cœur était à la retraite
Et ne pensait jamais devoir se réveiller
Mais au son de ta voix j’ai relevé la tête
Et l’amour m’a repris avant que d’y penser
Isabelle, Isabelle, Isabelle, Isabelle
Isabelle, Isabelle, Isabelle mon amour
Comme on passe le doigt entre l’arbre et l’écorce
L’amour s’est infiltré, s’est glissé sous ma peau
Avec tant d’insistance et avec tant de force
Que je n’ai plus depuis ni calme ni repos
Isabelle, Isabelle, Isabelle, Isabelle
Isabelle, Isabelle, Isabelle mon amour
Les heures près de toi fuient comme des secondes
Les journées loin de toi ressemblent à des années
Qui donnent à mon amour un goût de fin du monde
Elles troublent mon corps autant que ma pensée
Isabelle, Isabelle, Isabelle, Isabelle
Isabelle, Isabelle, Isabelle mon amour
Tu vis dans la lumière et moi dans les coins sombres
Car tu te meurs de vivre et je me meurs d’amour
Je me contenterais de caresser ton ombre
Si tu voulais m’offrir ton destin pour toujours
Isabelle, Isabelle, Isabelle, Isabelle
Isabelle, Isabelle, Isabelle mon amour