Le cri des Ogres
Incapable de prendre des décisions, 20 ans qu’j’gratte les récifs.
J’suis un peu comm s-i
Dans mes récits j’raconte la vie des Hommes.
Au fond j’suis comme les autres, mais j’avoue qu’parfois j’hésite.
Rien qu’j’écris dans la grotte, un peu d’résine
J’entends le cri des Ogres.
Nous deux sur une pirogue, j’aurais récité quelques versets.
Prit quelques mots doux pour te bercer, tel en est l’epilogue.
Avec l’autre j’loupe des épisodes, et toi s-i qu’est ce qu’il en est ?
J’ai mis des rimes dans un Pilot et ça m’tiendra des kilomètres.
Papier plié dans la poche d’mon imper’, une inspi et j’la gratte.
Entendre ces conneries sur Inter ça m’détruit mon 21 grammes.
Pâtes et grillées, quatre encoches d’une équerre, rien n’réduira la graille.
J’ai vu ces indices sur un teh, quelques potes inscris sur un drame.
L’hiver passera comme tous les ans.
Pour crever pas b’soin d’notice.
Influer insta comme tous les Anges,
Voilà le rêve de nos p’tites sœurs.
Cramé un stade, rendre fou les gens, pour ça que j’rempli le dit sceud.
Donnez un stage d’intolérance, faut voir jusqu’où les p’tits pissent.
Un casier attitré, des mois qu’ils d’vaient déjà m’le mettre.
Mon p’tit prénom sur la porte comme
Interimaire modèle.
Mais j’en peux plus d’tous ces modems, que mon chef s’prenne pour un modèle.
Mais je taff partout pour gros moteurs, pour sortir des tubes comme Mottez.
Pensées malsaines s’ott’rons seules,
Assez d’ce sale temps, lassé.
Mon veau-cer saute, quand j’pense trop j’suis las.
Et la j’me vois sur la scène, j’me prélasse sans là-celle.
Delaissé j’pense qu’elle m’passera sous l’nez comme la C.
On opère dans l’bruit.
Retourne la ville en silence.
Des projets dans l’biz’
A l’affût d’la moindre finance.
J’sais qu’c’est dans l’titre.
Tchek mes vers dans l’impertinence.
Des projets dans l’biz’
Toi tu t’tises quand ton père dit non.
On opère dans l’bruit.
Retourne la ville en silence.
Des projets dans l’biz’
A l’affût d’la moindre finance.
J’sais qu’c’est dans l’titre.
Tchek mes vers dans l’impertinence.
Des projets dans l’biz’
Toi tu t’tises quand ton père dit non.
Drôle de dame, je savais qu’fallait pas jouer le fou du Roi.
On y va calme, on y va sans stress, moi, j'suis un mec zen de base.
Ça vient des trippes, ça vient du coeur et puis j't'emmène en balade.
J'te faisais rire, maintenant tu pleures, j'ai vite compris que tes promesses valaient que dalle.
Mais j'te remercies pour l'inspi.
Solo j'graille des cookies.
La weed c'est mon Toubib.
Grosse entaille devenue vide,
Ouais j'men taille de tes republi'. Oh !
Faux sourire, rien n'm'échappe, j'les vois dans vidéos.
J'men fou d’la vie des autres,
J'voulais qu'elle devienne notre.
Mais plus un signe alors j'navigue entre la mer et la côte.
Entre mes vices et tes fautes,
Et plus t'insistes, tu m'dégoutes,
J'te vois assise sur ses genoux, pendant que j'm'isole dans ma tour.
Bref.
J’casse une clope et j'pete un teh.
D'ma vie je suis le spectateur.
Dans un bistrot tête à tête.
Tu m'diras vraiment c’qui t’fais peur,
Mais me mentir, s'il te plaît arrête.
Voilà où j'en suis désormais,
Y'aura pas de retour en arrière.
On opère dans l’bruit.
Retourne la ville en silence.
Des projets dans l’biz’
A l’affût d’la moindre finance.
J’sais qu’c’est dans l’titre.
Tchek mes vers dans l’impertinence.
Des projets dans l’biz’
Toi tu t’tises quand ton père dit non.
On opère dans l’bruit.
Retourne la ville en silence.
Des projets dans l’biz’
A l’affût d’la moindre finance.
J’sais qu’c’est dans l’titre.
Tchek mes vers dans l’impertinence.
Des projets dans l’biz’
Toi tu t’tises quand ton père dit non.