REVERIE
Le soir qui vient baigne ma chambre de silence,
Je suis seul près de mon piano...
Ce grand fauteuil à l'air d'attendre une présence,
Et ce cadre vide, une photo...
Oui, mais voilà !... quelle photo...
Vais-je savoir de qui bientôt ?
Refrain (VH):
N'y a t'il pas sur terre, un coeur de cendrillon...
Une âme solitaire, cherchant un bon garçon...
Devrais-je donc toujours rêver d'amours imaginaires ?
Ne pourrais-je trouver quelqu'un à qui rêver
N'y a t'il pas une âme, pour calmer mon souci...
Un tendre coeur de femme, qui m'aimerait aussi...
A qui, sans façon, je pourrais déclarer ma flamme...
Et faire entendre ma chanson !
Refrain (VF)
N'y a t'il pas sur terre, pour une cendrillon...
Un coeur simple, sincère, cherchant un compagnon...
Devrais-je donc toujours rêver d'amours imaginaires ?
Ne pourrais-je trouver quelqu'un à qui rêver
N'y a t'il pas une âme, pour calmer mon souci...
Un coeur aimé des femmes, qui m'aimerait aussi...
A qui, sans façon, je pourrais déclarer ma flamme...
Et faire entendre ma chanson !
Rien ne répond dans la nuit tendre qui frissonne
Que le vent pleurant sans raison...
Mais sur la route en s'approchant un pas résonne ;
Il s'arrête au pied de la maison...
L'amour est-il enfin venu...
Mais il repart vers l'inconnu...
Refrain