Une heure ou deux
Les corps se suivent comme le décor défile
Arcs en ciel au chromatisme pastel
Stroboscope les chairs se télescopent
Les regards se touchent à l'assurance partielle
Et tout cela semble nous plaire
Les sourires et les masques se portent à merveille
L'un dans l'autre, la jouissance est la même
L'un dans l'autre, les souffrances sont les mêmes
S'ouvre la porte, le plancher craque sous nos pas
Ferme les yeux, s'offrent les draps
Lumière bleu, le reflet de tes bas
Peu à peu se lacérer les bras
Et tout cela semble nous plaire
Les sourires et les masques se portent à l'envers
L'un dans l'autre, la jouissance est la même
L'un dans l'autre, les souffrances sont les mêmes
Mais quelles sont ces mains ? À qui sont ces yeux ?
Que je connais si peu, l'histoire d'une heure ou deux
L'histoire d'une heure ou deux
L'histoire d'une heure ou deux
Les lèvres se suivent et ne se ressemblent pas
L'ennui dérive, tangue et me noie
À la barre de moi, de mes émois
Un capitaine soûlard au gré des mâts
Et tout cela semble nous plaire
Les sourires et les masques s'enlèvent et se révèlent
L'un dans l'autre, la jouissance est la même
L'un dans l'autre, les souffrances sont les mêmes
Mais quelles sont ces mains ? À qui sont ces yeux ?
Que je connais si peu, l'histoire d'une heure ou deux
L'histoire d'une heure ou deux
L'histoire d'une heure ou deux
Mais quelles sont ces mains ? À qui sont ces yeux ?
Que je connais si peu, l'histoire d'une heure ou deux
Mais quelles sont ces mains ? À qui sont ces yeux ?
Que je connais si peu, l'histoire d'une heure ou deux