Le Dernier des Travaux d’Hercule
Le chien Cerbère
Protège et garde sans répit
La porte des Enfers
Sur ses trois têtes
Ondulent des serpents
Au rythme de sa queue de fer
Il ne se doute pas
Qu'Héraclès est là
Oh, no ! Il ne se doute pas
En un éclair
Hercule le saisit par le cou et le mit à terre
Et manquant d'air
Le chien étouffé lui céda et perdit colère
Il ne se doutait pas
Qu'Héraclès fût plus là [sic]
Oh ! No !
La capture du chien Cerbère
Fut le dernier des douze travaux d'Hercule
Demi-dieu par le sang de son père
Qui jamais devant le danger ne recule
La capture ... Oh !
Demi-dieu par le sang de son père
Qui jamais devant le danger ne recule