Mens-moi
Je regarde la vapeur de ton souffle, insouciant, dans cet air humide
Et moi aussi ma poitrine oublie
Ce mouvement des soupirs devenus depuis longtemps monotone
Crois-tu que comme la vie, la beauté meurt avec le temps?
Et alors la haine me charmera
Ne me ment pas;
Car tu sais que je déteste déjà l’amour
Ne me ment pas
Je regarde la vapeur de ton souffle, immobile, dans cet air humide
Et moi aussi ma poitrine vaincu,
Suit l’élancement douloureux devenue depuis longtemps monotone
Crois-tu que comme la beauté, le désir meurt avec le temps?
Et alors la haine me possèdera
Ne me ment pas,
Car tu sais déjà que je t’aime
Ne me ment pas
Je regarde la vapeur de ton souffle, indifférent, dans cet air humide
Et moi aussi ma poitrine meurtrie
Sous le poids des souvenirs devenus depuis longtemps monotones
Crois-tu que comme le désir, l’amour meurt avec le temps ?
Et alors la haine me libérera
Ne me ment pas,
Car tu sais que je suis déjà perdu
Ne me ment pas
Car tu sais que tu m’as déjà perdu
Ment moi
Car tu sais que je t’ai déjà aimé
Mens-moi
Je regarde la vapeur de ton souffle, insouciant, dans cet air humide
Et moi aussi ma poitrine oublie
Ce mouvement des soupirs devenus depuis longtemps monotone
Crois-tu que comme la vie, la beauté meurt avec le temps?
Et alors la haine me charmera
Ne me ment pas;
Car tu sais que je déteste déjà l’amour
Ne me ment pas
Je regarde la vapeur de ton souffle, immobile, dans cet air humide
Et moi aussi ma poitrine vaincu,
Suit l’élancement douloureux devenue depuis longtemps monotone
Crois-tu que comme la beauté, le désir meurt avec le temps?
Et alors la haine me possèdera
Ne me ment pas,
Car tu sais déjà que je t’aime
Ne me ment pas
Je regarde la vapeur de ton souffle, indifférent, dans cet air humide
Et moi aussi ma poitrine meurtrie
Sous le poids des souvenirs devenus depuis longtemps monotones
Crois-tu que comme le désir, l’amour meurt avec le temps ?
Et alors la haine me libérera
Ne me ment pas,
Car tu sais que je suis déjà perdu
Ne me ment pas
Car tu sais que tu m’as déjà perdu
Ment moi
Car tu sais que je t’ai déjà aimé
Mens-moi
Je regarde la vapeur de ton souffle, insouciant, dans cet air humide
Et moi aussi ma poitrine oublie
Ce mouvement des soupirs devenus depuis longtemps monotone
Crois-tu que comme la vie, la beauté meurt avec le temps?
Et alors la haine me charmera
Ne me ment pas;
Car tu sais que je déteste déjà l’amour
Ne me ment pas
Je regarde la vapeur de ton souffle