Le sable
Mes pupilles sont dilatées du sable sur les paupières
Des souvenirs par millier j'en ai des flashs dans le veau-cer
Des larmes et des larmes cachées derrière nos œillères
Mais on veut profiter de la vue qui nous est offerte
Ça fait longtemps que j'ai fait mes valises mon pote
Sous mes yeux je les ai posées
On attend que la win arrive, jackpot
On voit que la weed arrivée
On a tous un vice ou deux (deux deux deux), j'ai vu Paris sous beuh (beuh beuh beuh)
Lampadaire dans les yeux pas de quoi faire des vœux, ni d'euros ni d'heureux (eux eux eux)
Regard dans le vide (de de de), des étoiles dans les yeux (eux eux eux)
Dans les rues quand il pleut, on en voie prier Dieu dans destin hasardeux (deux deux deux)
On s'efface dans la foule on se mêle
On s'éreinte à la tache tout les jours toutes les semaines
Tous les matins ont se lève et puis chaque journée c'est la même
Pour enfin pouvoir sentir le sable sous nos semelles
Mes pupilles sont dilatées du sable sur les paupières
Des souvenirs par millier j'en ai des flashs dans le veau-cer
Des larmes et des larmes cachées derrière nos œillères
Mais on veut profiter de la vue qui nous est offerte
Mes pupilles sont dilatées du sable sur les paupières
Des souvenirs par millier j'en ai des flashs dans le veau-cer
Des larmes et des larmes cachées derrière nos œillères
Mais on veut profiter de la vue qui nous est offerte
J'ai vu la ville avec les yeux rouge, j'ai pris la fuite avec un deux roues
3h du mat', j'effrite le ze-dou, chaque fin de mois, faut joindre les deux bouts
Je réfléchis à des rêves de secours, ça fait bizarre mais j'reste debout
Je connais Paris, j'ai fait le tour, le soleil arrive quand je me couche
Randonnée dans les ruelles je me rappelle encore ce moment sur le sable chaud
Si le monde est cruel, je porterais mes frères ma famille et ma vision
Même avec un mal de dos, je relève la tête et je la garde haute
On fait ce qu'on peut (peut peut peut), j'ai vu paris sous beuh (beuh beuh beuh)
Va falloir qu'on se dise ce qu'on s'est jamais dit avant de se dire adieu (dieu dieu dieu)
J'ai vu Paris sous beuh (beuh beuh beuh), des étoiles dans les yeux (eux eux eux)
J'ai proposé la paix, on l'a donné la guerre je suis entre les deux (deux deux deux)
On s'efface dans la foule on se mêle
On s'éreinte à la tache tout les jours toutes les semaines
Tous les matins ont se lève et puis chaque journée c'est la même
Pour enfin pouvoir sentir le sable sous nos semelles
Mes pupilles sont dilatées du sable sur les paupières
Des souvenirs par millier j'en ai des flashs dans le veau-cer
Des larmes et des larmes cachées derrière nos œillères
Mais on veut profiter de la vue qui nous est offerte
Mes pupilles sont dilatées du sable sur les paupières
Des souvenirs par millier j'en ai des flashs dans le veau-cer
Des larmes et des larmes cachées derrière nos œillères
Mais on veut profiter de la vue qui nous est offerte
Je veux bien faire la paix mais je suis pas tout seul
Je sais pas où je vais comme un baroudeur
J'ai les pupilles dilatées le monde est barge
Je ne vois plus que des tarés depuis mon départ
Fonce-dé j'analyse nos modes de vies
Si tu en rêves peut-être que tu peux encore le vivre
Il reste quoi ? Quelques souvenirs, prêts à s'écrouler comme Tour de Pise
On s'efface dans la foule on se mêle
On s'éreinte à la tache tout les jours toutes les semaines
Tous les matins ont se lève et puis chaque journée c'est la même
Pour enfin pouvoir sentir le sable sous nos semelles