OUTRO INTEMPOREL
Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais
Ouais, ouais
Mehsah à la prod (Mehsah à la prod)
Zikyenne, Zikyenne, Zikyenne
Ouais, ouais, ouais, ouais
Toujours les mêmes
93140
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Ça revient pépère, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais (ouh)
T'as reconnu les p'tites minutes, t'as reconnu la voix qui t'stresse
Loin de ce que j'envisageais, mais au moins, j'bicrave plus d'cess
J'vois d'moins en moins les shlags, j'suis moins dans un état d'ivresse
J'devais m'y foutre en moins d'trois piges, j'crois qu'j'ai réussi l'pari
En Clio 3 plein phares, j'arracherai toujours dans ta rue
Le bitume, j'ai l'rap français qui tue, j'ai le moelleux qui pue
Froid comme en cité, j'connais pas machin et bidule
Routine le temps d'un soir, galères et habitudes
J'ai bien compris qu'c'est qu'un sport et qu'on va m'mener la vie dure
On reste postés pour l'instant, mais bellek, les p'tits, ils poussent
Ça nettoyait les hagars, maintenant, l'cousin a [?] d'course
Les temps changent mais rien n'a changé (eh), on cherche toujours à s'ranger
Très tôt, t'aperçois l'danger, va falloir faire d'la plongée
Être en apnée pour manger, si ton esprit veut s'venger
Faudra qu'ton coeur, il s'congèle, les mecs en place, ils s'font jouer
J'évite la frime sauf quand je ride dans ma caisse
Ce s'ra jamais pile ou face, j'évite de voir voler ma caisse
P'tit coup d'fil à l'avocat pour lui dire que la suite approche
Pour percer, ces fils de pute, ils s'f'raient des tatouages sur la tronche
Rassure-toi, j'suis pas d'ceux-là, j'sors d'Boboche, et j'passe au Nord
T'as pas cerné les personnages, à la fin d'l'histoire, tes gars sont morts
J'fais v'là les billets par semaine, c'est l'seul remède face au manque
Tranquille, tu peux rien faire, tes gars sont lents (eh)
Bientôt, j'me tire en Guyane car vos regards en dit long
J'cogite sous les pleurs du mal, allez vous faire enculer
Passer sa vie à bafouer des principes, c'est pas mon truc
J'tire des strings ficelles après avoir joué d'la galanterie
[?] tieks, on traine à quarante-huit Quand c'est l'été, devant chez Yan, tu vas m'entendre, j'te l'garantis
C’est pas un mais j'les ai aperçu t’as rappé (fils de pute), eh, putain
Au fond, c'est qu'un passage donc vaudrait mieux qu'on en profite
Venu pour tchourave leur trophée, j'prends toutes les têtes d'affiche en feat'
Tu vois bien qu'on a trop faim et j'pense qu'on en a trop fait
Vaut mieux être en forme, cousin, faut tout voler d'plein phares
Fils de pute, c'est Cayenne, tu m'as jamais vu caler (ouais)
Là, j'recasse une cigarette avant qu'ils viennent me parler
Mes bijoux sont fait que de carats et mon pilon, rien qu'il t'arrache
Il m'a fallu quelques "Temps", un microphone et puis la rage
Ça vient d'Bondy, tu sens la street, mon frère, personne n'en a trop dit
Y a peut-être des minots, des têtes cramées dans la combine
On tripote ta copine, on trinque à Saint-Tropez
On est bien loin d'la religion, tous entassés dans un hôtel
J'attends qu'on m'aime, moi
Fils de pute
Y a ma grand-mère au bled, une autre dans l'9.4, j'dois tout faire pour elles
Y a qu'ça qui compte, le reste, nique sa mère ; le rap, nique sa mère
J'les vois s'faire des cunni', nous, c'est litrons
Oseille et filochage si t’es puni
Les gens qui brassent, j'les sucerai pas, j'les écoute pas, j'les étudie
Une fois en Porsche Cayenne blanc nacré, de préférence neuve, comme ça, j'me fais sucer dans la caisse
J'suis le bras qui tend et qui reprend, tranquillement
Toit ouvrant qu'il neige ou qu'il vente
Ouais, ouais Zikyenne
Toit ouvrant qu'il neige ou qu'il vente
Mehsah à la prod
Gros bisous à la proc' (mouah)